Jon Jones se soumet à un test polygraphique afin de prouver son innocence

Il y a un nouveau chapitre dans la saga ‘Jon Jones‘.

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Le mois dernier, Jones a fait un test polygraphique dans l’espoir de prouver qu’il dit la vérité quand il déclare qu’il n’était pas conscient qu’il avait ingéré du Turinabol, un stéroïde anabolisant, ou toute autre substance améliorant la performance avant son combat contre Daniel Cormier lors de l’UFC 214.

Jones a passé le test, selon des sources dans l’UFC.

Le test a été effectué par le PGP Polygraph & Interviewing Service à Albuquerque le 7 décembre, selon des sources. Ni l’UFC ni l’Agence Antidopage des États-Unis (USADA) n’ont demandé à Jones de passer le test.

Le 22 août, l’UFC a annoncé que Jones, âgé de 30 ans, avait échoué un test antidopage le 28 juillet, soit un jour avant qu’il ne remporte la ceinture des poids mi-lourd par TKO dans le 3ième round. Depuis lors, Jones et son équipe ont nié à plusieurs reprises le fait que Jones ait sciemment pris une substance interdite avant le combat. Il a également juré qu’il se battrait contre sa suspension et trouverait la cause de ce test échoué.

En raison du test positif, la California State Athletic Commission a renversé le résultat du combat à un non-concours et Cormier a reçu le titre des poids mi-lourd une fois de plus. Il défendra ce titre pour la ‘première’ fois ce samedi, le 20 janvier, contre Volkan Oezdemir.

Alors que Jones avait initialement été provisoirement suspendu par l’USADA en août, il n’a pas encore reçu de sanction officielle de la part du CSAC ou de l’USADA. Son audience avec la CSAC est actuellement prévue pour le mois prochain.

En 2016, Jones a testé positif pour deux substances interdites, le Letrozol et le clomifène, avant l’UFC 200. Il a été suspendu un an après que les arbitres aient jugé qu’il avait fait preuve de négligence en prenant des substances inconnus.